Éditeur initial – Sinead Greenan
Principaux contributeurs – Sinead Greenan, Kim Jackson, Lauren Lopez, Laura Ritchie et Evan Thomas
Objectif
L’échelle de gravité de la fatigue est une échelle en 9 points qui mesure la gravité de la fatigue et son effet sur les activités et le mode de vie d’une personne chez des patients atteints de divers troubles. Elle a été initialement conçue pour les personnes atteintes de sclérose en plaques ou de lupus érythémateux systémique.
Population visée
Personnes souffrant de divers diagnostics, notamment l’arthrite, la fibromyalgie, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson et les accidents vasculaires cérébraux.
Méthode d’utilisation
Une échelle d’auto-évaluation de neuf items sur la fatigue, sa gravité et la façon dont elle affecte certaines activités. Les réponses sont notées sur une échelle de sept points où 1 = fortement en désaccord et 7 = fortement d’accord. Cela signifie que le score minimum possible est de neuf et le score maximum de 63. Plus le score est élevé, plus la fatigue est sévère et plus elle affecte les activités de la personne. Il est simple à comprendre et il faut en moyenne huit minutes pour y répondre.
Evidence
Fiabilité
Fiabilité test-retest
Validité
Apte à discriminer les groupes (avec et sans fatigue) dans une étude de personnes atteintes de cirrhose.
Corrélation avec la symptomatologie dépressive (inventaire de dépression de Beck) et la qualité de vie (SF-36).
Maladie de Parkinson
Réactivité
Aucune modification significative observée avec l’échelle avant et après la transplantation hépatique.
La FSS a été signalée comme ayant des effets de plancher faibles et de plafond modérés.
Versions
Brésilien-Portugais
Finlandais
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